|
|
|
|
|
|
|
|
Au premier regard, il y a de quoi être séduit. Autant la 307 berline nous fait tiquer, autant le break nous plait. Sa hauteur de toit nous parait ici parfaitement normale, et nous avons trouvé l'auto élégante, autant de profil que de face ou d'arrière.
C'est du côté de l'équipement que nous ferons plutôt quelques critiques. Les barres de toit sont ainsi en série sur tous les modèles, juste pour faire cool, puisqu'on sait que la plupart des gens s'en servent moins d'une fois par an, et qu'ensuite un immense toit panoramique en verre, non ouvrant mais occultable par un rideau électrique, est lui aussi livré en série. On s'en passerait bien car il réduit la garde au toit, mais au moins le message est clair, pour ceux qui ne veulent pas de ces équipements, il faudra se tourner vers le Partner : le grand espace arrière du 307 SW est entièrment dédié à la famille, ou aux loisirs.
Allons-y justement à l'arrière, il y a une troisième rangée de sièges, nous avons vu une petite journaliste japonaise s'en extraire difficilement, et elle aurait été en jupe que son anatomie n'aurait plus eu de secret pour nous. Nous sommes formels : en dépit d'une hauteur confortable, le volume utile de la 307 SW n'a rien d'exceptionnel, nous partons donc voir d'autres modèles.
Sur le stand Fiat, le break Stilo n'étant pas prêt, nous trouvons sans joie un vieux break Marea. Sur une intuition, nous allons en regarder le compartiment arrière. Nous regardons bien, nous regardons avec attention. Une question terrible nous assaille et nous devons partir en quête de chiffres.
Le volume de l'espace de chargement du Peugeot 307 SW, que le dossier de presse n'hésite pas à qualifier de mini-amphithéatre, est de 1540 dm3.
Le volume de l'espace de chargement de la Fiat Marea Week-End, introduit sur le marché sans grande prétention par Fiat en 1996, et plus bas que la 307 de 4 cm, est de 1550 dm3. |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|