|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
La
patte des designers italiens est tout aussi visible
à l'intérieur. Aucune confusion n'est
possible avec une berline germanique, puisque là
ou les allemands seraient incapables d'imaginer
des fonds de compteurs autrement que noir ou blanc
(en dépit de l'éclairage bleuté
des Golf), les italiens les font bleu vif, avec
un écran digital au centre de même
couleur. Quel audace ! Le bois ensuite est
d'une découpe que personne n'avait jamais
vu, Maserati innove, et il n'y a guère que
le volant, multi-fonctions qui ai un air de déjà
vu (tous ces boutons rappellent les Pontiac des
années 80). |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
La
transmission est robotisée comme il se doit
(remarquez le tout petit levier central, et les
boutons sur le volant), et il y a toute une batterie
de systèmes électroniques pour gérer
les liaisons au sol, au freinage, en accélération
et dans les courbes, afin de prévenir toute
perte d'adhérence. Alors si les italiens
sont parvenus à fiabiliser tout cela, et
à l'accorder avec une gestion moteur ultra-sophistiquée
(V8 4,2 litres de 400 ch, soit près
de 95 ch/l), une chose sur laquelle même
les plus prestigieux constructeurs allemands ont
de la peine, les italiens pourront être fiers
de leur réussite.
Mais il faudra maintenant en convaincre les clients. |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|