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A bord, la finition est évidemment loin du meilleur de l'Allemagne, mais l'auto soutient très bien la comparaison avec les Daewoo Kalos, Hyundai Getz ou Citroen C3 (!), on ne lui en demandera pas plus, puisque même les plastiques d'une Toyota Yaris ne sont pas très chics... Mais au moins l'équipement sera bon, puisqu'il y aura 4 versions, Solo, Sprite, Select et Style, mais que l'airbag conducteur est en standard sur toutes, de même un système d'ouverture du hayon et de la trappe à essence depuis le siège conducteur.
Il n'y a pour l'heure qu'une seule motorisation, c'est un 1400 essence (il n'y a pas un mot dans le dossier de presse sur une éventuelle version diesel, alors qu'elle existe pourtant, même si elle est très peu puissante), assez modifié par rapport à la version vendue en Inde, puisque l'essence européenne le permet, il est plus puissant, plus sobre, et moins polluant. |
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Confirmation du minimalisme des différences avec la Tata Indica d'origine, la photo ci-dessus montre qu'il n'y a à peine que la calandre qui diffère, mais notons aussi que l'Indica est également disponible dans une version à coffre, baptisée Indigo (photo ci-dessous), on ne la verra probablement jamais avec un écusson Rover, mais si la réponse du public à ce nouveau modèle est positive, on peut attendre pour bientôt une version sportive, et un break Tourer, développé à partir de l'Indica station-wagon qui fut présenté au dernier salon de Genève.
La CityRover sera commercialisée en Grande Bretagne entre 6500 et 8500 £, pour l'Europe continentale, les tarifs ne sont pas encore connus, mais cela devrait débuter en dessous de 10 000 €.
Il y a ensuite une chose fabuleuse à savoir sur l'entreprise Tata, cet énorme conglomérat de plus d'1 million d'employés, c'est qu'il n'est pas une société à vocation capitalistique comme le sont tous les constructeurs automobiles aujourd'hui (sauf peut-être Toyota). C'est écrit dans les statuts de la société mère Tata que 50 %¨des bénéfices doivent être consacrés à des actions au profit de l'intérêt général des indiens. Tata est donc pour moitié une entreprise à la recherche de profit, et pour une autre moitié une œuvre qui réalise des actions caritatives : le bénéfice engrangé par la vente en Europe d'une Tata, ou d'une CityRover peut donc servir à financer la construction d'un hôpital en Inde. Pensez-y ! |
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