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Et toute référence au passé est également oublié, capot long et coffre court, c'était dans les années 30. La Seat Salsa n'a pas d'arrière, et c'est à peine si elle a un avant. L'auto est même un miracle de packaging, car avec une base de pare-brise presque en avant des roues (!), l'espace moteur est réduit au minimum, sauf à accroître dangereusement le porte-à-faux avant.
On dit ce véhicule très très proche de la série, mais on s'interroge quand même sérieusement sur le comportement d'une auto qui a une telle proportion de son poids sur les roues avants...
Au moins on ne posera pas la question du choix du type du moteur, seul un 4 cylindres en ligne implanté transversalement est possible. Mais on imagine aussi la difficulté de rendre l'auto conforme aux normes de sécurité pour bien passer au crash-test : comment concevoir une zone de déformation progressive en aussi peu d'espace ? |
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Intérieur hyper-branché en rouge et gris, il y a de l'alu comme sur l'Audi TT et la New Beetle RSI, et Seat précise que la facilité de nettoyage de cet habitacle a été particulièrement étudiée, comme quoi les espagnols allemands n'oublient pas le côté pratique...
Mais la question que tout le monde se pose est de savoir si cette auto sera produite en série, il est encore difficile de répondre avec certitude, mais on sait qu'un coupé-monospace Seat sera commercialisé l'année prochaine et, oui, il serait très proche de cette auto. Un point incertain serait par contre sa définition, soit l'auto sera le porte-drapeau de la marque, et ne recevra à ce titre que des motorisations turbocompressées sophistiquées, soit il sera choisi de faire du volume, avec un premier modèle de 100 ch à 15 000 euros. Mais il faudrait en vendre beaucoup pour que ce soit rentable...
Réponse avant la fin de cette année. |
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