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Y'en a plus toujours eu plus sous le capot d'une Viper que dans la culotte de Britney, et y'en a encore plus dans la nouvelle. Le cahier des charges était simple : 500, 500, 500. En normes américaines. Soit 500 pouces cubes, donc 8.3 litres, 500 chevaux, c'est pareil, et 500 livres-pieds, ce qui nous donne plus de 80 m/kg de couple. A noter aussi une zone rouge désormais à 6100 tr/mn, pas mal pour un 10 cylindres de cette taille (un 4 cylindres avec les mêmes alésage/course ferait 3.3 litres), c'est pas encore du Honda, mais ce n'est plus un moteur de camion.
La boite est à 6 vitesses, elle ne change pas, et elle n'est pas près de changer puisqu'on ne connait pas d'autre boite capable de passer une telle puissance. Meme les rapports sont identiques, la sixième n'est donc qu'overdrive, quoique le couple du moteur devrait permettre de faire avec seulement 3 rapports !
Visible à l'arrière aussi, des extracteurs d'air. L'aérodynamisme est beaucoup plus travaillé, et la ligne de l'auto, plus fine, génère plus d'appui, on pourra rouler vite. |
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Mais à côté de toutes ces bonnes choses, le principal défaut de la Viper perdure, à savoir la qualité déplorable des plastiques de son intérieur. Les cadrans blancs sont plutôt sympathiques, le socle du levier de vitesses est agréablement cerclé d'aluminium, mais on est très très loin de l'originalité d'une Audi TT, et la réalisation n'est pas meilleure que celle d'une Skoda Octavia.
Fort mauvais point pour une auto qui se vend 73 000 dollars hors taxes aux USA, ce qui nous fera quasiment dans les 100 000 euros ici, on verra cela au salon de Paris.
La raison hésite. Mais, il suffit d'un coup d'accélérateur pour que la passion renverse tout cartésianisme. Transformer en petits rigolos tous les types en BMW, ça a un coût, et il y en a qui sont prêts à le payer. |
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