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| Fruit d'un investissement de un milliard d'euros, la nouvelle Vectra n'est pas une auto avec laquelle Opel peut se permettre la moindre erreur. La marque au blitz est en baisse depuis plusieurs années suite à la politique stupide de réduction des coûts au détriment de la qualité de M. Ignacio Lopez, au début des années 90, cette Vectra doit être l'auto de la renaissance. Et cela se voit au premier abord, les lignes de la voitures sont d'une magnifique netteté, quoique l'arrière abrupt peut choquer, mais on est bien en peine d'y trouver quelque originalité. Ce qui, si on se souvient, lui avait déjà bien réussi, puisque la Vectra fut la meilleure vente de son segment en 1996, 97 et 98, alors que déjà, l'auto brillait par l'ultra-classicisme de sa ligne. |
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| Parce que même si on peut se mettre à genoux devant l'audace stylistique d'une Vel Satis, les pères de famille préfèreront pendant encore longtemps l'élégance dans la sobriété. Disponible tant avec coffre qu'avec hayon (cette version prenant l'appelation GTS), la nouvelle Vectra a été faite pour plaire au plus grand nombre, c'est du commercial, comme diront ses détracteurs, mais c'est pourtant plus difficile que de faire une auto qui ne plait qu'à quelques-uns, surtout accompagné d'un excellent Cx de 0.28. |
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