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280 ch, d'où les ingénieurs nippons les ont-ils tirés, réponse : d'un 4 cylindres. C'est le bloc 2,3 litres qui a reçu un turbo pour porter sa puissance à 280 ch (à 6500 tr/mn), et son couple à 360 Nm (à 3500 tr/mn). Bien sûr, sur une voiture qui s'appelle 6, on aurait préféré un 6 cylindres, mais l'atout du choix d'un turbocompresseur est de rendre ce concept-car facilement...productible. Et sans gros investissements. La boite à 6 rapports, la transmission aux 4 roues motrices, sont déjà en production, il ne manque donc que le moteur et les accessoires cosmétiques, si le service marketing donne le feu vert, le constructeur japonais aura une auto capable de tourner autour d'une Alfa Romeo 156 GTA.
Pour probablement moins cher. |
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La grande question est donc de savoir si Mazda a l'image de marque nécessaire pour vendre une auto de ce calibre. Assurément non, mais avoir un tel outil au catalogue, voilà un truc pas piqué des vers pour booster ladite image de marque ! Et on espère donc tous qu'ils vont la faire, parce que nous sommes nombreux à avoir envie de nous asseoir dans cet intérieur bicolore (blanc et bleu, copié sur la Citroen CX GTI de 1978, les japonais ne se sont jamais gênés pour copier, et Citroen devrait faire de même), pour contempler le superbe éclairage bleuté du tableau de bord.
Pour ceux qui ne peuvent attendre, la Mazda 6 est disponible en break, c'est tout de suite chez votre concessionnaire, et il y a une version 4 roues motrices. |
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