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Le moteur de la 3200 GT était une catastrophe, il y a eu plusieurs exemples de moteurs explosés à moins de 10 000 km, ce fut donc une sacrément bonne nouvelle que le nouveau Spyder possède sous son capot une mécanique fraiche, un V8, de cylindrée confortable, et atmosphérique s'il vous plait. Comme sur toutes les grandes Maserati des années 60 et 70 !
4.3 litres, 4 soupapes par cylindre, tout en alliage, une zone rouge à 7500 tr/mn, et une injection Bosch (Weber n'est plus dans le coup), ce n'est que du meilleur, et cela donne 390 ch, soit 91.7 ch/l. Plus qu'excellent pour la cylindrée.
Et cerise sur le gateau : la boite. On aura dit pendant plus de 20 ans que les Maserati avaient des boites de camion, on ne peut plus le dire avec la nouvelle transmission Cambiocorsa. Il y a 6 rapports, et leur passage est entièrement robotisé, on ne se sert du levier qu'au démarrage. Ensuite, c'est au volant que cela se passe, on voit sur la photo ci-dessus la manette de gauche, à 10H, il y en a une autre sur le côté droit. |
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Côté comportement, l'architecture de la 3200 GT n'a pas été modifiée. On retrouve donc le transaxle, avec la boite à l'arrière, accolée au différentiel, comme sur une Porsche 928 (ou une Ferrari 275 GTB/4), les trains roulants ont cependant été bien amélioré, et le moteur n'aurait pas été changé, que l'auto serait déjà significativement plus rapide de par ce seul fait.
L'auto est disponible en rouge, mais elle est alors trop voyante. Il y a ensuite 2 bleus, le premier est un bleu roi métallisée, il est trop commun, on le trouve sur les 307 et Stilo, le second est un marine très sombre, il est bien sur le coupé, mais il rend moins sur ce Spyder. On trouve aussi un gris argent métallisé, un peu trop classique à notre goût, et le noir, inévitable, mais... trop sérieux.
Non vraiment, prenez-la en jaune ! |
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