Aussi haut que large, la Verso n'est pourtant pas désagréable a regarder, tout le mérite en revenant à ses flancs particulièrement travaillés, depuis ces feux qui empiètent largement tant sur la poupe qu'à la proue, en passant par des nervures de caisses (qu'on devine chères à produire, alors que l'auto ne se vendra pas plus de 80000 F) qui prodiguent à l'auto une sophistication digne d'une classe supérieure. Après Peugeot qui avait placé la barre très haute avec sa 206 remarquablement sculptée, le constructeur japonais relève le gant de belle manière.
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