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L'intérieur est bien évidemment de même niveau. Le cuir est souple, tandis que c'est de la ronce de noyer véritable qui a été choisie pour habiller les contre-portes, et le tableau de bord. A remarquer aussi, de superbes pédales en aluminium, mais comme l'objectif n'était pas de diminuer le poids, le noble métal n'est pas ici ajouré comme sur une voiture de rallies, mais parsemé d'inserts de caoutchouc anti-dérapant. Petite touche pour rappeler que l'on est dans une auto tout-terrain...
Parce que pour le reste, barre chromée au seuil de la portière, console de toit avec écran vidéo pour les passagers arrières (avec écouteurs), on navigue en milieu sophisticatiqué. |
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Ce qui n'est pas vraiment pour nous plaire. Car le Pajero dont nous rêvons, le Pajero qui tient des millions de gens en haleine pendant 3 semaines, il n'a pas un gramme de chrome, pas un centimètre de cuir, et pas le plus petit élément de ronce de noyer. Ce Pajero là, il n'a pas besoin de plaire ou de frimer : il s'impose en étant plus rapide que tous les autres.
Et en dépit de l'ambition désormais bien affichée de Volkswagen de lui ravir le trône de champion des rally-raids, pour le Dakar 2003, s'il y a un bon cheval sur lequel on peut miser, c'est bien le Pajero ! |
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