|
|
|
 |
|
|
|
|
|
|
|
Renault a abandonné les chiffres pour désigner ses modèles, on se demandait qui allait reprendre ce système, finalement bien pratique, on ne se le demande plus : c'est Mazda. Après la 6 présentée au printemps, voici la 2, et la remplaçante de la 323 (qui sera bâtie sur une plateforme de future Focus, et que l'on attend pour 2004), s'appellera la 4.
Un poil plus grosse qu'une 206, cette auto remplace la Demio, et elle conservera d'ailleurs cette appellation sur son marché intérieur, mais autant la Demio avait innovée à sa sortie, autant la nouvelle rentre dans le rang. On devine la main de Ford (actionnaire majoritaire de Mazda) pour commander du conformisme plus que de l'audace. |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
La Demio fut en effet presque révolutionnaire puisqu'elle était le premier break surélevé/mini-monospace de série. On peut certes dire que Suzuki y était déjà avec son WagonR, et Toyota s'est lancé sur ce segment avec son Yaris Verso, mais aucun n'a le charme du Demio première génération...
Le charme, ou l'art de dissimuler des qualités d'utilitaire sous une apparence sympathique, voilà ce qui faisait toute la différence de la petite Mazda qui était grande, et voilà même qui continue. Car par rapport à une Volkswagen Polo, au design si lisse, que le regard y glisse pour aller voir ailleurs, la nippone fait presque... latine.
Autre avantage, et pas des moindres, la 2 sera nettement meilleur marché que sa rivale de chez VW, et si son handicap est de ne pas avoir de TDI, elle aura néanmoins quelque chose de valable en lieu et place... |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
